2009 s'est effacée, 2010 est là
a tou(te)s:
joie, bonheur et santé
joie, bonheur et santé
Pour moi, 2009 s'est bien finie, un beau séjour avec ma soeur et des amis en Espagne pour Noël, des textos de mes enfants me remerciant et me souhaitant un bon Noël...que demander de plus pour cette fin d'année si remplie de turbulences?
Malheureusement, le ciel s'est assombri pour le Nouvel An avant la bérézina du lendemain.
Heureuse, j'étais partie pour le réveillon chez mes parents.
La soirée était détendue, gaie et d'un coup j'ai entendu dans la bouche de ma mère; "tu aurais mieux fait de te supprimer que de faire subir cela à tes enfants....", je suis restée zen et lui ai répondu qu'au moins ils avaient toujours un père et que le jour où nous nous retrouverions ils m'appelleraient comme ils voudront, mais qu'ils m'auront là, présente avec eux. Réponse " de toute façon ce ne sera pas avant des années, s'ils reviennent.....". Je n'ai rien ajouté, je voulais que les moments passés avec mes parents ne dégénèrent pas, et la soirée fut.
Malheureusement remise du plat le jour de l'an, dans l'après midi, avec des attaques contre ma sœur, contre mon ex femme.
Là j'ai craqué, j'ai réagi, ma mère a osé me soutenir qu'elle nous aimait toutes, qu'elle n'avait jamais dit ça, et j''en passe. Mon père s'en ait mêlé, la bouche pleine de couches de culpabilisation lancés dans la direction de ses enfants....
Que leur passé soit lourd à porter,cela est évident, mais qu'ils reportent leur souffrance, qu'ils cherchent ainsi à tenter de détruire les autres......non.
Trop, c'est trop, j'ai pris mes affaires et suis partie, mon père m'a jeté dans la voiture les cadeaux que je lui avais fait, et voilà comment des moments qui auraient pu être agréables furent gâchés, gâchés comme s'ils désiraient toujours gâcher la vie des autres. Une chose est sûre, je n'ai plus de parents. C'est dur, mais c'est ainsi.
Et je pleure depuis 2 jours, je pleure de voir ce gâchis, je pleure de peur d'être comme eux, des dévoreurs d'âmes.
Malheureusement, le ciel s'est assombri pour le Nouvel An avant la bérézina du lendemain.
Heureuse, j'étais partie pour le réveillon chez mes parents.
La soirée était détendue, gaie et d'un coup j'ai entendu dans la bouche de ma mère; "tu aurais mieux fait de te supprimer que de faire subir cela à tes enfants....", je suis restée zen et lui ai répondu qu'au moins ils avaient toujours un père et que le jour où nous nous retrouverions ils m'appelleraient comme ils voudront, mais qu'ils m'auront là, présente avec eux. Réponse " de toute façon ce ne sera pas avant des années, s'ils reviennent.....". Je n'ai rien ajouté, je voulais que les moments passés avec mes parents ne dégénèrent pas, et la soirée fut.
Malheureusement remise du plat le jour de l'an, dans l'après midi, avec des attaques contre ma sœur, contre mon ex femme.
Là j'ai craqué, j'ai réagi, ma mère a osé me soutenir qu'elle nous aimait toutes, qu'elle n'avait jamais dit ça, et j''en passe. Mon père s'en ait mêlé, la bouche pleine de couches de culpabilisation lancés dans la direction de ses enfants....
Que leur passé soit lourd à porter,cela est évident, mais qu'ils reportent leur souffrance, qu'ils cherchent ainsi à tenter de détruire les autres......non.
Trop, c'est trop, j'ai pris mes affaires et suis partie, mon père m'a jeté dans la voiture les cadeaux que je lui avais fait, et voilà comment des moments qui auraient pu être agréables furent gâchés, gâchés comme s'ils désiraient toujours gâcher la vie des autres. Une chose est sûre, je n'ai plus de parents. C'est dur, mais c'est ainsi.
Et je pleure depuis 2 jours, je pleure de voir ce gâchis, je pleure de peur d'être comme eux, des dévoreurs d'âmes.